Kaoka

Chocolat bio ou non bio : quelles différences ?

Chez Kaoka, les questions des enjeux écologiques, économiques et sociaux autour du cacao ont toujours guidé notre façon de travailler. Dès nos débuts, en 1993, nous savions que nous voulions vous proposer un chocolat le plus respectueux possible : de l’environnement et surtout, des hommes et des femmes qui produisent le cacao. Depuis 30 ans, nous avons construit avec nos partenaires producteurs un modèle de production durable qui profite à toutes et à tous. Ensemble, nous avons fait partie des premières entreprises à commercialiser des chocolats certifiés Bio.

Selon nous, la bio est la base d’une consommation plus consciente et plus responsable et nous allons vous expliquer pourquoi.


 


Qu’est-ce que l’Agriculture Biologique ?

Initialement marginale, l’agriculture biologique s’est développée dès les années 1920, portée par des agronomes, médecins, agriculteurs et consommateurs. Face à la forte industrialisation de l’alimentation et à la prise de conscience des limites planétaires, elle connaît un essor à l’approche des années 70.

L’agriculture biologique est un mode de production qui assure le respect de l’environnement, la protection du climat, de la biodiversité et de la santé humaine. Elle est encadrée par une réglementation européenne depuis 1991. Elle privilégie une approche pro active en amont à travers le développement de la diversité et l’amélioration de la qualité du sol, de l’eau, des végétaux et des animaux plutôt que le traitement de problèmes lors de leur apparition.

agriculture-biologique

Le cahier des charges de l’agriculture biologique inclut plusieurs exigences :

  • Aucune utilisation de produits chimiques de synthèse (pesticides, engrais, désherbants, etc.) ❌🧪
  • Aucune utilisation d’OGM ❌🧬
  • Le respect du bien-être animal ✔️🐄

Plusieurs types de produits peuvent être certifiés bio :

  • Les produits agricoles bruts (fruits, légumes, céréales, etc.),🍓🍇🥦
  • Les produits transformés pour l’alimentation humaine qui en découlent, 🍫🍪
  • Les produits agricoles destinés aux animaux, 🌾
  • Les semences.🌿

Pour pouvoir afficher la certification AB et/ou le label bio européen, un produit doit être produit et transformé en respectant ce cahier des charges. Dans le cas d’un produit transformé, il doit être composé d’au minimum 95% de produits issus de l’agriculture biologique.

Enfin, pour être commercialisé en tant que produit bio, toute entité doit être contrôlée par un organisme certificateur agréé par les pouvoirs publics. En France, il existe plusieurs organismes certificateurs habilités à délivrer des certificats Bio. Ces organismes certificateurs effectuent un audit de contrôle minimum 2 fois par an. Toutes les étapes sont vérifiées : depuis la culture, aux achats de matières premières, aux règles de stockages et à la production des produits.

À retenir :

La principale différence entre l’agriculture biologique et l’agriculture conventionnelle (non bio) est l’origine des produits utilisés pour la culture. Pour lutter contre les aléas et/ou améliorer les récoltes, les agriculteurs certifiés biologiques peuvent être amenés à utiliser des produits d’origine naturelle. Alors qu’en agriculture conventionnelle, les intrants de synthèse (pesticides/engrais chimiques), fabriqués en laboratoire, sont autorisés.

Comment savoir si un produit est certifié Bio ?

Logos Agriculture Biologique
Les logos « AB » et « Bio Europe »
  • Si le logo AB (français) et/ou le logo européen Eurofeuille sont présent sur l’emballage, cela signifie que le produit est certifié Bio. Ces deux logos ont la même signification: la norme française s’est alignée sur la norme Européenne. Cela signifie que le produit est composé d’au minimum 95% d’ingrédients issus de l’agriculture biologique.
  • Si la mention « Bio » seule (sans logo) figure sur un produit cela signifie qu’un ou plusieurs des ingrédients est certifié Bio, mais cela ne vous donne aucune garantie sur le mode de production des autres ingrédients.
  • Il est interdit d’afficher la mention « Bio » sur un produit si l’entreprise qui le commercialise n’est pas certifiée.
Autres labels bio
D’autres labels qui garantissent l’Agriculture Biologique

Il existe d’autres labels privés qui garantissent le bio avec des cahiers des charges plus exigeants que le label AB mais qui font de l’Agriculture Bio, un prérequis : Biopartenaire, Nature et Progrès, Bio Équitable en France, Bio Français Équitable, Bio Cohérence, Demeter etc…

Sources : insee.fr, agriculture.gouv.fr, agencebio.org,


Agriculture conventionnelle ou non bio : c’est quoi le problème avec les pesticides ?

En agriculture, les pesticides ou phytosanitaires sont les substances utilisées pour lutter contre les parasites animaux et végétaux nuisibles aux cultures et aux produits récoltés.

Le terme pesticide est générique. Il est composé de plusieurs familles dont :

  • les herbicides pour tuer les mauvaises herbes,
  • les insecticides pour éliminer les insectes,
  • les fongicides pour éliminer les champignons,
  • les parasiticides pour éliminer les vers,
  • les acaricides pour éliminer les acariens,
  • les bactéricides pour éliminer les bactéries.

La liste est encore longue et effrayante. Si le but des pesticides chimiques est d’affecter tous les organismes vivants et de transformer les environnements dans lesquels ils évoluent (et nous aussi), nous sommes en mesure de nous demander pourquoi et comment ils ont pu être la norme du modèle agricole industriel ?

Ces traitements chimiques sont censés « protéger » les cultures des insectes parasites et des aléas naturels. Utilisés en très grande quantité, ils ont permis plus de rendements à court terme.

Mais cette culture intensive a appauvri les terres, de moins en moins fertiles, entraînant un déséquilibre de l’écosystème global. Vous le voyez le cercle vicieux ? Il faut alors avoir recours aux engrais et pesticides en masse pour revenir à des rendements corrects, aggravant sur le long terme la situation jusqu’à un point de non-retour.

Schéma de l'impact des pesticides sur la biodiversité, les sols, et l'eau par les effets de volatilisation, évaporation, précipitations, ruissellements

Etant volatiles, les pesticides se propagent dans notre environnement à travers de nombreuses voies : par infiltration, par volatisation ou encore par ruissèlement. Ils se retrouvent à contaminer les sols, l’air, les cours d’eau et donc tous les organismes vivants dans ces milieux. On peut donc en retrouver dans notre organisme, à travers notre nourriture, notre eau, nos vêtements ou l’air que l’on respire.

 


Pourquoi c’est important de manger Bio ?

  •  Pour protéger l’environnement et la biodiversité

Les pesticides ont de lourds impacts sur l’environnement. Etant utilisés pour annihiler et faire disparaître des organismes considérés comme nuisibles, ils empoisonnant certains maillons de la chaîne alimentaire. D’autres espèces voient alors leurs ressources alimentaires disparaître et doivent lutter à leur tour pour maintenir leur équilibre. N’ayant pas recours à ces produits nocifs, l’agriculture biologique ne cause pas d’effets négatifs sur la biodiversité et protège autant que possible les écosystèmes.

Pourquoi est-il important de manger bio ?

Choisir de manger bio, c’est : préserver les écosystème, favoriser la fertilité des sols, éviter l’érosion et protéger les milieux aquatiques et nos réserves d’eau.

On retrouve en moyenne 30 % d’espèces différentes en plus et une abondance d’individus qui augmente de 50 % dans les parcelles en agriculture biologique (1). Les parcelles bio ont une meilleure couverture biologique et une biodiversité plus riche qui permet des sols plus stables et fertiles. Ils résistent ainsi mieux aux aléas climatiques à l’origine de l’érosion.

 

  • Pour protéger notre souveraineté alimentaire

La souveraineté alimentaire est définie comme le droit des peuples à une alimentation saine et culturellement appropriée produit avec des méthodes durables et à la définition de leurs propres systèmes agricoles et alimentaires. Travailler en harmonie avec la nature est un des 7 piliers de la souveraineté alimentaire. Pour cause, nous sommes dépendants des services écosystémiques rendus par la Nature.

Dans l’infographie ci-dessous, vous pouvez observer toute l’importance des animaux pollinisateurs dans la production de notre nourriture. Leur absence représente des pertes de récoltes très conséquentes selon les cultures. Pour ainsi dire, pas de pollinisation, pas de chocolat (entre bien d’autres choses évidemment).

 

  • C’est meilleur pour notre santé et celle des producteur·rice·s :

Choisir de manger bio, c’est la garantie de consommer des aliments qui n’ont pas été directement traités par des pesticides et autres intrants chimiques nocifs pour la santé. Plusieurs études ont démontré que l’exposition aux pesticides favorise le développement de pathologies graves et mortelles (cancers, maladies neurodégénératives et des malformations chez les enfants à naître).

Choisir de consommer bio, c’est aussi limiter l’utilisation de ces produits controversés qui polluent l’environnement dans lequel nous vivons. Plus grand sera le nombre de champs ou de vergers biologiques, moins il y aura de pollution dans nos sols, nos nappes et nos rivières.

Sources :
(1) Bengtsson et al. (2005), The effects of organic agriculture on biodiversity and abundance: a meta-analysis

 


Quelle est la différence entre l’agriculture bio et les autres labels durables comme les allégations « sans résidus de pesticides » ?

Face au label Bio, de nouvelles allégations sont apparues comme le sans pesticides, «Cultivés Sans Pesticides », «Zéro Résidu de Pesticides» ou encore le label «HVE – Haute Valeur Environnemental».

On le rappelle, en agriculture biologique, l’usage de tous types de produits chimiques de synthèse est proscrite.

La promesse des labels «sans résidus de pesticides» : proposer aux consommateurs des produits sans traces de pesticides. L’intention semble louable. Cependant, ces labels ne sont pas aussi exigeants sur les conditions de culture que l’agriculture biologique, puisqu’ils autorisent l’épandage de pesticides. Pour atteindre des résultats « conformes », les pesticides ne laissant peu ou pas de traces sur le produit consommé vont être privilégiés et/ou appliqués aux premières étapes de culture.

Aussi, contrairement au bio qui engage une culture sur plusieurs années, ces certifications « sans pesticides » ne concernent qu’une parcelle à un « instant t » et auront un impact négatif sur l’environnement tout comme une culture conventionnelle.

Pour protéger l’environnement dans lequel nous vivons, il est essentiel de limiter au maximum l’utilisation de ses intrants chimiques, responsables de pollution. Aujourd’hui, seuls les labels bio ont le mérite d’aller plus loin dans cette démarche.

 

« Oui mais en agriculture biologique, certains pesticides sont aussi autorisés »

C’est un argument que l’on entend souvent. Or, les pesticides chimiques sont absolument interdits en agriculture biologique (contrairement en agriculture non bio ou dite conventionnelle). En agriculture biologique, les producteurs ont recours à des traitements d’origine naturelle pour protéger leurs cultures : la réglementation européenne autorise 57 substances naturelles en production bio. Il faut savoir que plus de 450 substances sont autorisées en agriculture non bio ou dite conventionnelle ! Et ces dernières sont essentiellement chimiques.

Et même si ces traitement sont naturels, les principes de l’agriculture biologique recommandent de les utiliser avec précaution.

Il est aussi important de noter que les herbicides sont également interdits en bio. L’agriculture non bio ou conventionnelle n’émet pas de restriction à ce sujet.

Dans son ensemble, là où l’agriculture non bio ne s’embarrasse d’aucun engagement, l’agriculture biologique défend et prône des pratiques plus respectueuses pour l’environnement dans lequel nous vivons et, pour notre santé.

 

Consommer Bio ou local ?

 

On entend souvent cette question qui met en opposition deux démarches qui ne devraient pas l’être. Il est vrai que l’importation de fruits et légumes de l’autre bout du monde a un impact important sur l’environnement. C’est pourquoi en plus du bio et de la saisonnalité, il est important de manger local. Manger bio et local, c’est consommer des aliments produits à quelques kilomètres de chez soi (de 0 à 250 kms) et dans des conditions respectueuses des régions dans lesquelles nous vivons. Ces circuits courts qui limitent les intermédiaires sont le meilleur moyen de soutenir les producteurs et l’économie locale.

En consommant bio et local, vous participez à la préservation de l’environnement et vous avez un impact économique et social positif sur votre territoire.

Pour des produits exotiques comme le sucre de canne, la banane, le café ou  le chocolat, vous ne pouvez pas faire le choix du local. Pour éviter d’encourager la forte intensification de ces cultures, il est important de sélectionner des produits bio et pour permettre aux producteurs de vivre dignement, labellisés équitables.

 


La production mondiale du cacao Bio

La filière cacao a une empreinte écologique importante sur l’environnement. Les cacaoyers sont des arbres tropicaux qui nécessitent des sols profonds et fertiles. Selon les variétés, ils sont plus ou moins sensibles aux maladies. Si un cacaoyer est cultivé sur une terre déforestée en monoculture, une grande quantité d’intrants chimiques sera nécessaire pour obtenir une productivité de cacao suffisante.

Dans les années 90, les premières tablettes de chocolats certifiées biologiques sont arrivées dans les rayons des magasins spécialisés. La tablette Kaoka  Noir 70% faisait partie de ces tablettes précurseuses.

La République Dominicaine s’est historiquement imposée en tant que producteur de cacao bio majeur. Jusqu’en 2013 la République Dominicaine et le Pérou représentaient plus de 65% de la production mondiale de cacao bio.

Mais face au boom de la consommation bio, les négociants, à la recherche d’un cacao bio à moindre coût, ont commencé à s’intéresser à l’Afrique. En l’espace de quelques années, les surfaces de cacaoyers bio se sont alors fortement développées en Afrique. En 2018, le continent africain a dépassé la barre des 53% des surfaces de cacaoyers bio cultivés au monde contre 46% pour l’Amérique Latine. L’Afrique est devenue la 1ère zone de production de cacao bio.

Pays producteurs de cacao bio
Pays producteurs de cacao bio

 

 


Les garanties du chocolat bio

 

Une tablette de chocolat certifiée Bio
Une tablette de chocolat certifiée Agriculture Biologique

Ce qui est garanti par un chocolat Bio :

  • Aucune utilisation d’intrant chimique de synthèse pour la production du cacao (fertilisants, pesticides, antibiotiques, etc.), ❌🧪
  • Au moins 95% des autres ingrédients de la tablette sont aussi issus de l’agriculture biologique (sucre, beurre de cacao, fruits secs, poudre de lait, vanille, etc.), 🍫
  • Un système de traçabilité garanti jusqu’à la parcelle du producteur, ✔️📍
  • Un mode de culture du cacao favorable à la diversité et au développement de la faune et de la flore, 🦋🌱🐞
  • Une production de cacao qui préserve la qualité du sol et de l’eau. 🌍💧

Ce qui n’est pas garanti par un chocolat bio :

  • La déforestation : Le culture du cacao peut participer activement à la déforestation et à tous les impacts néfastes qui en découlent sur l’environnement. La certification Bio n’interdit pas et ne vérifie pas si les cultures sont responsables de déforestation. 🪓🌳
  • La culture en agroforesterie : L’agroforesterie, les couverts végétaux et les haies qui préservent la biodiversité peuvent être pratiqués en culture Bio, mais ce ne sont pas des prérequis à la certification. Nous observons de la monoculture en bio, qui finit par aboutir à une perte de biodiversité. ❌🌲🌳
  • La mise en place de mesures sociales pour les producteurs de cacao : La rémunération juste des producteurs, les conditions de travail, l’interdiction du travail forcé des enfants ne sont pas des critères vérifiés de la certification Bio. 💰🧸

Le cahier des charges bio est vérifié par l’organisme certificateur, à toutes les étapes de la fabrication du chocolat :

  • Dans les champs de production du cacao : vérification du mode de production selon les standards de l’agriculture biologique.
  • Le mode de transformation du cacao en chocolat : l’achat et le stockage d’ingrédients bio, des lignes de production dédiées ou nettoyées si elles produisent également des produits conventionnels.

Comment aller plus loin et être sûr des engagements d’un chocolat Bio ?

Choisir un chocolat bio, c’est déjà un pas pour la protection de l’environnement. Pour des engagements et des garanties encore plus poussées pour l’environnement et les hommes et les femmes qui produisent du chocolat, il faut se tourner vers des chocolats bio labellisés équitables.

 


Kaoka : une entreprise engagée pour un chocolat bio de qualité

Chez Kaoka, nous sommes conscients que la filière cacao cache de nombreuses problématiques : atteintes aux droits humains, destruction de l’environnement, problèmes de qualités, etc. En savoir plus sur la production de cacao et ses problématiques.

C’est pour cette raison que depuis 30 ans, Kaoka travaille en lien direct et étroit avec les producteurs. En maîtrisant toute la chaîne de production du cacao, de sa culture à sa transformation, nous pouvons vous offrir un chocolat d’exception, durable pour la planète et les générations futures. Pour travailler de manière approfondie et pouvoir mener des projets avec des impacts réels sur l’amélioration du revenu des producteurs, sur l’amélioration de la qualité du cacao et sur l’amélioration de la biodiversité dans les plantations, nous avons fait le choix d’un nombre restreint d’origines de cacao.

Tablettes de chocolat Bio, marque Kaoka

 

  • Des certifications exigeantes 👀

Nos chocolats sont certifiées biologiques et labellisées équitables par des organismes tiers et indépendants. Ils sont certifiés Agriculture biologique Europe par Ecocert, qui garantit une agriculture respectueuse de l’environnement, de la conservation de la fertilité des sols au maintien de la biodiversité, jusqu’à l’étiquetage des tablettes. Et labellisés équitables par Biopartenaire®, le label repère de la Bio équitable et responsable.

En savoir plus sur les filières Kaoka.

Ces certifications sont une garantie pour vous, en tant que consommateur. Elles permettent de se baser sur un référentiel. Et comme chez Kaoka, nous aimons faire toujours mieux, nous portons encore plus loin nos engagements sur le terrain avec les engagements suivants :

 

  • Un chocolat engagé dans la lutte contre la déforestation 🌳🌲 :

Au-delà des engagements associés à la certification bio, nous nous assurons que la culture du cacao dans nos filières ne participe pas à la déforestation : une règle que nous avons intégrée dans notre système de contrôle interne de l’Agriculture biologique pour chacune de nos filières. Nous travaillons avec les producteurs pour signer des accords de conservation pour protéger et valoriser les forêts en limitant l’extension des exploitations agricoles.

Pour s’assurer que les plantations ne s’agrandissent pas, au détriment des zones forestières, les bordures des parcelles de nos partenaires producteurs ont été délimitées et digitalisées. En 2022, 93% des périmètres des parcelles de nos partenaires producteurs sont cartographiées et digitalisées. L’objectif est d’atteindre les 100% pour 2023.

 

  • Une agriculture régénérative 🌱🔄 :

Selon nous, la cacaoculture régénérative est la meilleure façon de lutter contre la crise climatique.

En intégrant la protection de la biodiversité, le reboisement, la culture en agroforesterie et la restauration des sols, il est possible de produire du cacao avec un impact plus faible sur l’environnement. Toutes ces pratiques permettent d’améliorer l’ensemble de l’écosystème des parcelles de cacao. Un seul mot d’ordre : améliorer l’existant (la qualité du sol, de l’eau, la faune et la flore) plutôt que de les détruire ou les épuiser avec une culture intensive.

En savoir plus sur le projet AgroEcological Regenerative Cocoa pour la conservation et la régénération des écosystèmes, la protection de la biodiversité et la promotion de l’agroécologie au sein de filières cacao au Pérou, en Colombie et en Équateur.

 

  • Des contrôles exigeants ✅ :

Rien n’est laissé au hasard pour vous offrir des chocolats au goût authentique, qui révèlent une haute qualité aromatique. Le cacao bio peut être exposé à des risques pesticides et qualité à différents stades de la production du chocolat. Chez Kaoka, nous avons mis en place un système de contrôle interne rigoureux pour contrôler toutes les étapes pour chacune des filières en fonction des risques spécifiques identifiés.

Etapes de contrôles pesticides de Kaoka depuis la parcelle du producteur jusqu'à la chocolaterie
Les différentes étapes de contrôle de Kaoka : de la parcelle jusqu’à la chocolaterie

Des techniciens visitent les parcelles de nos producteurs partenaires pour les conseiller, leur rappeler de veiller à la non utilisation d’intrants chimiques et d’être toujours plus vigilants sur leurs pratiques environnementales. Des contrôles sont aussi réalisés dans les centres post-récoltes du cacao (là où le cacao frais est fermenté et séché), dans les espaces de stockage des fèves puis lors de la fabrication du chocolat. Au total, 1 169 visites d’audit qualité ont été réalisées dans les centres de collecte Kaoka en 2022.

 


 

Vous en savez désormais plus sur les différences entre un chocolat bio et non bio. Ce que nous mettons dans notre assiette, dessine notre monde d’aujourd’hui et de demain. Quel monde souhaitons-nous ? :)


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